Depuis quelques jours, on tente de me faire payer très cher la victoire que nous avons obtenue, nous du Réseau de Résistance du Québécois, contre la Commission des champs de bataille nationaux (CCBN) et le Canada, dans le dossier de la reconstitution de la bataille des plaines d’Abraham. Je sais que ceux d’en face, nos adversaires les plus acharnés, n’ont toujours pas digéré qu’une petite organisation indépendantiste ait fait reculer l’État canadien et ses institutions de propagande.
Maintenant, la colère de nos adversaires fédéralistes et leurs courroies de transmission médiatique est telle qu’ils sont en train de complètement déconstruire – pour mieux le réinventer- le discours que le RRQ a articulé dans ce dossier. Ils tentent de me faire passer pour un véritable Ben Laden québécois, le couteau entre les dents et impatient de passer à l’exécution de nos ennemis. Évidemment, tout cela est complètement farfelu. Si j’avais dit de telles choses, si j'avais fait des appels au meurtre, je serais déjà derrière les barreaux. Nous tenons par conséquent à préciser certaines choses.
Pierre Falardeau et moi, nous avons dit dès le départ que nous empêcherions le fédéral de danser sur les tombes de nos ancêtres en reconstituant la défaite franco-canadienne de 1759. Lorsque les journalistes m'ont demandé comment nous nous y prendrions, j'ai dit que nous pourrions aller jusqu’à la désobéissance civile. Cela signifiait d’organiser un sit-in sur les plaines d'Abraham. Nous l’avons dit publiquement à plusieurs reprises, comme j’ai dit à plusieurs reprises que nous rejetions les actes violents afin de faire capoter le projet de reconstitution. Je n’ai jamais fait d’appels au meurtre comme les journalistes ne cessent de le répéter aujourd’hui, en ce jour du 21 février 2009! En agissant ainsi, ils versent - inconsciemment ou pas - dans la pure calomnie!
Voilà ce qui est vraiment arrivé.
Le jeudi 12 février, Michel Hébert du Journal de Québec m’a appelé pour me demander comment j’entrevoyais le déroulement du projet de reconstitution si la CCBN n’annulait pas le tout. J’ai alors répondu qu’il y avait un risque évident de violence, car des excités des deux camps – autant l’indépendantiste que fédéraliste – pourraient en profiter pour commettre des gestes violents. Je voyais sur la pétition que nous avons mise en ligne au www.operation1759.org que plusieurs étaient très en colère, certains se permettaient même de dire qu’ils voulaient reconstituer la bataille, « mais avec des balles réelles ». Les fédéralistes excités, eux, m’envoyaient des courriels pour me dire que si Pierre Falardeau et moi nous mettions les pieds à Québec, nous serions assassinés. Michel Hébert a alors écrit que des appels au meurtre étaient formulés. Mais jamais le RRQ n’a été l’auteur de ces appels. Jamais, jamais, jamais.
Le problème est que la CCBN s’est servi de cet article pour justifier le fait que le fédéral reculait devant le mouvement indépendantiste. Il fallait sauver la face de Josée Verner, entre autres, elle qui disait que jamais le Canada ne plierait face au mouvement indépendantiste. André Juneau a alors complètement mis la faute sur le RRQ qui aurait fait des appels à la violence. Ce qui est faux, à moins de considérer un sit-in comme le paroxysme de la violence politique!
Ce que Pierre Falardeau et moi déplorons, c’est que c’est la version de la CCBN qui est depuis colportée sur la place publique, et ce, même si Michel Hébert a clairement démontré dans le Journal de Québec que la décision d’annuler la reconstitution avait été prise le lundi avant le 12 février, donc, avant qu’il soit publiquement fait mention des risques de dérapage qu’auraient possiblement provoqués des excités. Ce qui fait qu’aujourd’hui, par exemple, la Presse Canadienne rapporte la décision prise par le tribunal inquisiteur du Parti Québécois de me vouer aux gémonies en soulignant que « j’avais évoqué des appels au meurtre pour court-circuiter le projet de reconstitution ». Ce passage est complètement faux, il pêche par ambiguïté. Il donne la désagréable impression que c’est moi qui aurais fait des appels au meurtre. Ce qui est faux, faux, faux! Bien sûr, je croyais et je crois toujours que si la CCBN avait été de l’avant avec son projet de reconstitution, il y avait un po
tentiel de violence, pour les raisons évoquées ci-haut. Ce projet déchaînait tellement les passions qu’il aurait fallu être complètement déconnecté de la réalité pour ne pas le croire. Si je suis coupable de quelque chose, c’est d’avoir répondu honnêtement aux questions d’un journaliste, de lui avoir dit que tout cela pouvait se transformer en Samedi de la matraque, prise 2, pas à cause de nous, mais à cause du contexte. Aurait-il été responsable de dissimuler les menaces que faisaient autant des excités indépendantistes que fédéralistes? Aucunement!
Bien évidemment, toute cette bataille sur la reconstitution de la bataille des plaines d’Abraham a été très dure. Nous savions qu’en face, ils comptaient passer sur le corps des Québécois et organiser envers et contre tous cet immense carnaval de propagande. Parce qu’ils étaient aussi déterminés, nous dûmes l’être tout autant dans notre camp. Le ton a monté, des deux côtés. Et nous comprenons que tout cela ait pu ne pas plaire à tous.
Mais Pierre Falardeau et moi étions convaincus que le mouvement indépendantiste avait profondément besoin d’une victoire. Les victoires morales, c’est bien beau, mais ça ne nous rapproche en rien de la victoire ultime! Pierre Falardeau et moi avons donc décidé, comme deux seuls hommes, qu’ils nous fallaient remporter cette bataille, qu’ils nous fallaient faire face aux adversaires les plus déterminés du Québec. Parce que nous nous sommes tenus debout, avec courage, parce que nous avons été plus déterminés qu’eux et plus forts mentalement, nous avons décroché la victoire pour le mouvement indépendantiste. Une trop rare victoire qui remonte le moral des troupes, c’est indéniable.
Aujourd’hui, une fois que la job a été accomplie par Pierre Falardeau et moi, certains nous reprochent nos stratégies, notre ton, notre discours, nos coups de gueule pas toujours élégants, je l’admets. Pierre Falardeau et moi sommes des êtres humains ayant des talents et des défauts. Ceux qui considèrent que nous avons davantage de défauts que de qualités n’avaient qu’à sortir de l’ombre au plus fort de la tempête, pour prendre le relais et imposer leur propre stratégie. Mais non, ils ont préféré demeurer bien cachés, à l’autre bout du champ de bataille, bien à l’abri, mais en grommelant timidement contre nous, entre autres sur les ondes des radios-poubelles, en toute complicité avec leurs animateurs anti-Québec. Pendant que deux seuls hommes défendaient l’honneur du mouvement indépendantiste contre le premier ministre du Canada, contre Josée Verner, contre le maire de Québec, contre la CCBN et contre les radios-poubelles de Québec, le Parti Québécois tremblait. Il était blan
c de frayeur. Trop peu habitués à se tenir debout face à l’adversaire, ayant perdu le réflexe de se battre pour obtenir quelque chose au lieu d’encore et toujours quémander des concessions au maître des lieux, les péquistes ont eu indubitablement plus peur de nous que nos adversaires d’en face.
Le Parti Québécois a attendu que Pierre Falardeau et moi terminions la job avant de nous tirer dans le dos. Une fois que nous avons eu réglé le dossier de la reconstitution, en décrochant la victoire, ce parti organisa un vaste tribunal d’inquisition. Répondant ainsi aux diktats de Jean Charest, pour qui il est inadmissible que les différentes factions du mouvement indépendantiste collaborent parfois entre elles, de diverses façons (dans le cas qui nous concerne, on parle de simples publicités et aucunement de liens plus ou moins serrés), le PQ a sorti son arsenal; cet arsenal qu’il réserve toujours à l’exécution de ses troupes les plus combatives, mais qu’il n’utilise jamais pour viser l’adversaire fédéral. Pierre Falardeau et moi, mais surtout moi, avons ainsi été exécutés par les péquistes et, par ricochet, par les bloquistes. J’étais coupable d’avoir « formulé des commentaires inacceptables, inappropriés, qui s'apparentent à des propos violents ». Il fallait donc cesser d
e placer des publicités dans les pages du Journal Le Québécois.
Que le Parti Québécois décide d’utiliser ses budgets publicitaires comme bon lui semble, c’est parfaitement son droit. Afin de se distancier de nous, il aurait tout simplement pu dire que la publicité placée dans nos pages ne permettait aucunement de dire qu’ils endossent nos stratégies. Car, partant de là, à chaque fois que le PQ place une publicité chez Gesca, il faudrait considérer que cela représente un appui officiel à André Pratte. Ce qui n’est évidemment pas le cas. Mais le PQ a refusé d’agir ainsi, en toute sagesse. Il a décidé d’être encore plus violent à notre égard que ne le sont nos adversaires. Sans apporter les bémols qui s’imposent, le PQ a étiqueté le RRQ comme une organisation violente, ce qui est faux. Pire, le député Stéphane Bédard m’a indirectement comparé à Chuck Guité, un acteur-criminel des commandites.
Maintenant, je n’ai pas l’intention de devenir un PQ-basher professionnel. Le PQ n’en vaut décidément pas la peine. Et de toute façon, trop de gens ne comprendraient pas que nous réorientons ainsi notre combat. Nous ferons donc comme nous faisions avant que n’éclate cette affaire, c’est-à-dire que pour nous, le PQ n’existe tout simplement pas. Nous sommes capables d’obtenir des victoires pour le mouvement indépendantiste sans leur aide. Nous continuerons de lutter avec fougue pour qu’advienne un jour le pays du Québec. Nous continuerons d’organiser la révolution que sera la création d’un pays français en Amérique. Bref, nous continuerons de nous tenir debout face à nos adversaires!
Patrick Bourgeois
Maintenant, la colère de nos adversaires fédéralistes et leurs courroies de transmission médiatique est telle qu’ils sont en train de complètement déconstruire – pour mieux le réinventer- le discours que le RRQ a articulé dans ce dossier. Ils tentent de me faire passer pour un véritable Ben Laden québécois, le couteau entre les dents et impatient de passer à l’exécution de nos ennemis. Évidemment, tout cela est complètement farfelu. Si j’avais dit de telles choses, si j'avais fait des appels au meurtre, je serais déjà derrière les barreaux. Nous tenons par conséquent à préciser certaines choses.
Pierre Falardeau et moi, nous avons dit dès le départ que nous empêcherions le fédéral de danser sur les tombes de nos ancêtres en reconstituant la défaite franco-canadienne de 1759. Lorsque les journalistes m'ont demandé comment nous nous y prendrions, j'ai dit que nous pourrions aller jusqu’à la désobéissance civile. Cela signifiait d’organiser un sit-in sur les plaines d'Abraham. Nous l’avons dit publiquement à plusieurs reprises, comme j’ai dit à plusieurs reprises que nous rejetions les actes violents afin de faire capoter le projet de reconstitution. Je n’ai jamais fait d’appels au meurtre comme les journalistes ne cessent de le répéter aujourd’hui, en ce jour du 21 février 2009! En agissant ainsi, ils versent - inconsciemment ou pas - dans la pure calomnie!
Voilà ce qui est vraiment arrivé.
Le jeudi 12 février, Michel Hébert du Journal de Québec m’a appelé pour me demander comment j’entrevoyais le déroulement du projet de reconstitution si la CCBN n’annulait pas le tout. J’ai alors répondu qu’il y avait un risque évident de violence, car des excités des deux camps – autant l’indépendantiste que fédéraliste – pourraient en profiter pour commettre des gestes violents. Je voyais sur la pétition que nous avons mise en ligne au www.operation1759.org que plusieurs étaient très en colère, certains se permettaient même de dire qu’ils voulaient reconstituer la bataille, « mais avec des balles réelles ». Les fédéralistes excités, eux, m’envoyaient des courriels pour me dire que si Pierre Falardeau et moi nous mettions les pieds à Québec, nous serions assassinés. Michel Hébert a alors écrit que des appels au meurtre étaient formulés. Mais jamais le RRQ n’a été l’auteur de ces appels. Jamais, jamais, jamais.
Le problème est que la CCBN s’est servi de cet article pour justifier le fait que le fédéral reculait devant le mouvement indépendantiste. Il fallait sauver la face de Josée Verner, entre autres, elle qui disait que jamais le Canada ne plierait face au mouvement indépendantiste. André Juneau a alors complètement mis la faute sur le RRQ qui aurait fait des appels à la violence. Ce qui est faux, à moins de considérer un sit-in comme le paroxysme de la violence politique!
Ce que Pierre Falardeau et moi déplorons, c’est que c’est la version de la CCBN qui est depuis colportée sur la place publique, et ce, même si Michel Hébert a clairement démontré dans le Journal de Québec que la décision d’annuler la reconstitution avait été prise le lundi avant le 12 février, donc, avant qu’il soit publiquement fait mention des risques de dérapage qu’auraient possiblement provoqués des excités. Ce qui fait qu’aujourd’hui, par exemple, la Presse Canadienne rapporte la décision prise par le tribunal inquisiteur du Parti Québécois de me vouer aux gémonies en soulignant que « j’avais évoqué des appels au meurtre pour court-circuiter le projet de reconstitution ». Ce passage est complètement faux, il pêche par ambiguïté. Il donne la désagréable impression que c’est moi qui aurais fait des appels au meurtre. Ce qui est faux, faux, faux! Bien sûr, je croyais et je crois toujours que si la CCBN avait été de l’avant avec son projet de reconstitution, il y avait un po
tentiel de violence, pour les raisons évoquées ci-haut. Ce projet déchaînait tellement les passions qu’il aurait fallu être complètement déconnecté de la réalité pour ne pas le croire. Si je suis coupable de quelque chose, c’est d’avoir répondu honnêtement aux questions d’un journaliste, de lui avoir dit que tout cela pouvait se transformer en Samedi de la matraque, prise 2, pas à cause de nous, mais à cause du contexte. Aurait-il été responsable de dissimuler les menaces que faisaient autant des excités indépendantistes que fédéralistes? Aucunement!
Bien évidemment, toute cette bataille sur la reconstitution de la bataille des plaines d’Abraham a été très dure. Nous savions qu’en face, ils comptaient passer sur le corps des Québécois et organiser envers et contre tous cet immense carnaval de propagande. Parce qu’ils étaient aussi déterminés, nous dûmes l’être tout autant dans notre camp. Le ton a monté, des deux côtés. Et nous comprenons que tout cela ait pu ne pas plaire à tous.
Mais Pierre Falardeau et moi étions convaincus que le mouvement indépendantiste avait profondément besoin d’une victoire. Les victoires morales, c’est bien beau, mais ça ne nous rapproche en rien de la victoire ultime! Pierre Falardeau et moi avons donc décidé, comme deux seuls hommes, qu’ils nous fallaient remporter cette bataille, qu’ils nous fallaient faire face aux adversaires les plus déterminés du Québec. Parce que nous nous sommes tenus debout, avec courage, parce que nous avons été plus déterminés qu’eux et plus forts mentalement, nous avons décroché la victoire pour le mouvement indépendantiste. Une trop rare victoire qui remonte le moral des troupes, c’est indéniable.
Aujourd’hui, une fois que la job a été accomplie par Pierre Falardeau et moi, certains nous reprochent nos stratégies, notre ton, notre discours, nos coups de gueule pas toujours élégants, je l’admets. Pierre Falardeau et moi sommes des êtres humains ayant des talents et des défauts. Ceux qui considèrent que nous avons davantage de défauts que de qualités n’avaient qu’à sortir de l’ombre au plus fort de la tempête, pour prendre le relais et imposer leur propre stratégie. Mais non, ils ont préféré demeurer bien cachés, à l’autre bout du champ de bataille, bien à l’abri, mais en grommelant timidement contre nous, entre autres sur les ondes des radios-poubelles, en toute complicité avec leurs animateurs anti-Québec. Pendant que deux seuls hommes défendaient l’honneur du mouvement indépendantiste contre le premier ministre du Canada, contre Josée Verner, contre le maire de Québec, contre la CCBN et contre les radios-poubelles de Québec, le Parti Québécois tremblait. Il était blan
c de frayeur. Trop peu habitués à se tenir debout face à l’adversaire, ayant perdu le réflexe de se battre pour obtenir quelque chose au lieu d’encore et toujours quémander des concessions au maître des lieux, les péquistes ont eu indubitablement plus peur de nous que nos adversaires d’en face.
Le Parti Québécois a attendu que Pierre Falardeau et moi terminions la job avant de nous tirer dans le dos. Une fois que nous avons eu réglé le dossier de la reconstitution, en décrochant la victoire, ce parti organisa un vaste tribunal d’inquisition. Répondant ainsi aux diktats de Jean Charest, pour qui il est inadmissible que les différentes factions du mouvement indépendantiste collaborent parfois entre elles, de diverses façons (dans le cas qui nous concerne, on parle de simples publicités et aucunement de liens plus ou moins serrés), le PQ a sorti son arsenal; cet arsenal qu’il réserve toujours à l’exécution de ses troupes les plus combatives, mais qu’il n’utilise jamais pour viser l’adversaire fédéral. Pierre Falardeau et moi, mais surtout moi, avons ainsi été exécutés par les péquistes et, par ricochet, par les bloquistes. J’étais coupable d’avoir « formulé des commentaires inacceptables, inappropriés, qui s'apparentent à des propos violents ». Il fallait donc cesser d
e placer des publicités dans les pages du Journal Le Québécois.
Que le Parti Québécois décide d’utiliser ses budgets publicitaires comme bon lui semble, c’est parfaitement son droit. Afin de se distancier de nous, il aurait tout simplement pu dire que la publicité placée dans nos pages ne permettait aucunement de dire qu’ils endossent nos stratégies. Car, partant de là, à chaque fois que le PQ place une publicité chez Gesca, il faudrait considérer que cela représente un appui officiel à André Pratte. Ce qui n’est évidemment pas le cas. Mais le PQ a refusé d’agir ainsi, en toute sagesse. Il a décidé d’être encore plus violent à notre égard que ne le sont nos adversaires. Sans apporter les bémols qui s’imposent, le PQ a étiqueté le RRQ comme une organisation violente, ce qui est faux. Pire, le député Stéphane Bédard m’a indirectement comparé à Chuck Guité, un acteur-criminel des commandites.
Maintenant, je n’ai pas l’intention de devenir un PQ-basher professionnel. Le PQ n’en vaut décidément pas la peine. Et de toute façon, trop de gens ne comprendraient pas que nous réorientons ainsi notre combat. Nous ferons donc comme nous faisions avant que n’éclate cette affaire, c’est-à-dire que pour nous, le PQ n’existe tout simplement pas. Nous sommes capables d’obtenir des victoires pour le mouvement indépendantiste sans leur aide. Nous continuerons de lutter avec fougue pour qu’advienne un jour le pays du Québec. Nous continuerons d’organiser la révolution que sera la création d’un pays français en Amérique. Bref, nous continuerons de nous tenir debout face à nos adversaires!
Patrick Bourgeois
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